Virginia Woolf’s novel chronicles a day in the life of Clarissa Dalloway, a politician’s wife in 1920s London, as she prepares to host a party that evening. The narrative follows Clarissa’s thoughts (and sometimes those of people she meets) as she goes about her errands, and events in the day remind her of her youth and friendships from the past. As the book progresses characters from the past emerge, igniting old feelings and making Clarissa question the life she has created for herself.
Mrs. Dalloway became the inspiration for Michael Cunningham’s 1998 novel The Hours.
Tenía muchísimas ganas de leer a Virginia Woolf y creo que ha sido un error comenzar con 'La señora Dalloway'. Me ha parecido un libro muy complejo en la forma -la narración es una especie de flujo constante de pensamiento, solo interrumpido por algunos diálogos, que salta con mucha frecuencia de unos personajes a otros inadvertidamente- y excesivamente críptico en el contenido. Ojo, estos problemas tienen que ver con una falta de comprensión por mi parte, en ningún caso lo achaco a que se trate de una mala novela; de hecho, me parece todo lo contrario. Y así, en muchas ocasiones sin terminar de entender lo que estaba leyendo, me apetecía seguir avanzando en esta narración que describe, con una prosa repleta de lirismo, la burguesía inglesa de los años veinte.
Le livre se déroule le long d’une journée du mois de juin 1923, à Londres. Il est centré sur le personnage de Mrs Dalloway, une bourgeoise londonienne qui organise une soirée chez elle, avec toute une galerie de personnages qui gravitent autour d’elle.
Ce qui retient surtout l’attention, c’est le style : l’essentiel du livre se passe dans la tête des personnages. Le récit suit le fil de leurs pensées, et nous révèle leur vie intérieure et leur vision des choses. L’écriture laisse une impression de fluidité : le texte coule sans discontinuer d’une idée à une autre au gré des pensées des personnages, (d’ailleurs il n’y a pas de chapitres : les 300 pages s’enchaînent quasiment en continu), et parfois il saute d’un personnage à un autre, lesquels se jugent les uns les autres, ou bien partagent une même expérience mais l’appréhendent différemment.
C’est vraiment une écriture de l’intériorité. …
Le livre se déroule le long d’une journée du mois de juin 1923, à Londres. Il est centré sur le personnage de Mrs Dalloway, une bourgeoise londonienne qui organise une soirée chez elle, avec toute une galerie de personnages qui gravitent autour d’elle.
Ce qui retient surtout l’attention, c’est le style : l’essentiel du livre se passe dans la tête des personnages. Le récit suit le fil de leurs pensées, et nous révèle leur vie intérieure et leur vision des choses. L’écriture laisse une impression de fluidité : le texte coule sans discontinuer d’une idée à une autre au gré des pensées des personnages, (d’ailleurs il n’y a pas de chapitres : les 300 pages s’enchaînent quasiment en continu), et parfois il saute d’un personnage à un autre, lesquels se jugent les uns les autres, ou bien partagent une même expérience mais l’appréhendent différemment.
C’est vraiment une écriture de l’intériorité. Virginia Woolf arrive très bien à retranscrire la vie intérieure de ses personnages.
Parmi les thèmes abordés, outre la description de la bourgeoisie londonienne des années 1920, de ses mondanités, et du Londres de l’époque (le plan de la ville en annexe n’est pas de trop), on trouve des questions existentielles assez universelles : les personnages sont confrontés à leur passé, au sens de leur vie, à leurs rapports aux autres, mais aussi à des sujets inattendus : les inégalités sociales, l’homosexualité féminine, la folie, le suicide...
Parfois, le texte a provoqué chez moi une sensation de vertige étrange. Il se déroule en 1923, il y a presque exactement un siècle, et la moyenne d’âge des personnages doit tourner autour de 50 ans. Lorsque l’un d’eux évoque son adolescence dans les années 90, ça me renvoie à ma propre adolescence dans les années 90… avant de réaliser qu’il parle bien sûr des années 1890. Ou à un autre moment, ils mentionnent un peuple massacré au moyen-orient, on pense instantanément aux palestiniens, sauf qu’ils parlent... des arméniens. Comme si 1923 et 2023 s’interpénétraient le temps d’un instant...
Maybe I'll feel different at another point in my life, but I simply cannot recommend this book right now.
I had to go to third party sources to understand the whole thing due to its chaotic writing, and even after all that... turns out there was no story to follow, really.
I could certainly enjoy some descriptions, but it was overall a lot of effort to not prefer doing something else.
It was also the first book I read in a while so hopefully I'll come back in 20 years and find out how wrong I was.
Review of 'La Senora Dalloway/ Mrs. Dalloway (Biblioteca De Autor)' on 'Goodreads'
3 stars
Definitivamente, puedo decir ya lo que intuía desde hace bastante tiempo: el modernismo literario de principios del siglo XX que incorporó la técnica del monólogo interior no es lo mío. Soy consciente de su inmensa calidad y de su influencia decisiva en escritores que admiro, pero no consigo disfrutarlo de manera completa a pesar de que creo que la lectura, en ocasiones, no debe ser sólo puro entretenimiento, sino un reto intelectual.
Es imposible poner una nota negativa a un libro con tanta calidad. Sus párrafos resuenan, se sienten profundos y aquí y allá descubres revelaciones bellas y hondas sobre la experiencia humana (me quedo con los pasajes de la señora Kilman y de Septimus). Además, la mirada femenina en un ambiente cultural dominado por los hombres hace que tenga un interés extra.
Sin embargo, a pesar de todo lo anterior, la lectura se convierte en un reto extenuante. La …
Definitivamente, puedo decir ya lo que intuía desde hace bastante tiempo: el modernismo literario de principios del siglo XX que incorporó la técnica del monólogo interior no es lo mío. Soy consciente de su inmensa calidad y de su influencia decisiva en escritores que admiro, pero no consigo disfrutarlo de manera completa a pesar de que creo que la lectura, en ocasiones, no debe ser sólo puro entretenimiento, sino un reto intelectual.
Es imposible poner una nota negativa a un libro con tanta calidad. Sus párrafos resuenan, se sienten profundos y aquí y allá descubres revelaciones bellas y hondas sobre la experiencia humana (me quedo con los pasajes de la señora Kilman y de Septimus). Además, la mirada femenina en un ambiente cultural dominado por los hombres hace que tenga un interés extra.
Sin embargo, a pesar de todo lo anterior, la lectura se convierte en un reto extenuante. La deliberada dificultad del texto tiene el objetivo de que la narración tome el aspecto de un ir y venir de ideas propio de los pensamientos íntimos de varios personajes. Esto se me hace muy cuesta arriba a pesar de que hay narradora omnisciente y no llega a los extremos insufribles de Faulkner o Joyce.
Tampoco ha ayudado mi nula identificación con unos personajes de la alta sociedad londinense del periodo de entreguerras que son bastante frívolos en ocasiones, con una mirada crítica a su mundo demasiado soterrada en mi opinión.